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Lecteur-correcteur : mes nouvelles compétences à votre service

Le rôle essentiel du lecteur-correcteur

La langue française est complexe, les coquilles sont parfois difficiles à déceler, et vous n’avez pas le temps de peaufiner vos textes ? Vous cherchez un lecteur-correcteur à Lille ou alentour ? N’hésitez pas à confier vos textes à Destination Traduction pour relecture et correction. Découvrez mes nouvelles compétences !

Le lecteur-correcteur maîtrise à la perfection la langue française ainsi que les règles typographiques afin de rendre votre texte impeccable. Il s’occupe de :

• la relecture ;
• la correction ;
• la vérification de la mise en page ;
• l’amélioration du style, de la lisibilité ou encore de la clarté (sur demande) ;
• respecter la ligne éditoriale et la charte graphique.

Une formation par correspondance très pointue

Ma participation assidue à la formation dispensée par le CEC m’a valu l’obtention du titre de lecteur-correcteur, qui est enregistré au Répertoire national des certifications professionnelles au niveau III. Les cours sont élaborés et corrigés par M. Jacques Décourt, directeur des études, correcteur, secrétaire de rédaction, ancien formateur à l’ESJ de Lille et auteur d’ouvrages sur la langue française et par M. Jean-Pierre Colignon, ancien chef-correcteur du Monde et administrateur-chroniqueur à la revue Défense de la langue française.

Mes nouvelles compétences

Qu’ai-je appris ? Je n’aborderai ici que deux thèmes.

L’emploi des majuscules/minuscules

Voici des exemples de graphie correcte :

• la terre est basse/de la Terre à la Lune (Jules Verne) ;
• le soleil est ardent/le diamètre du Soleil ;
• le mont Blanc ou la baie des Anges. Auriez-vous mis les majuscules au bon endroit ?

Le pluriel des mots d’origine étrangère

Prenons l’exemple de l’allemand. La plupart des mots provenant de l’allemand sont francisés et soumis au pluriel français. Exceptions :

• leitmotiv (qui signifie un motif qui revient à plusieurs reprises) fait souvent leitmotive au pluriel ;
• pour le substantif Land (province), on a coutume de respecter le pluriel allemand (Länder ou Laender) ainsi que le pluriel lieder pour lied (chanson).

Des traductions encore plus qualitatives

Les cours et exercices réalisés durant ma formation ont amélioré mon aisance rédactionnelle et ma rapidité, car contrairement à avant, je n’ai plus à vérifier certains points épineux de la langue française. Me perfectionner étant une de mes grandes motivations, je n’ai pas hésité à m’inscrire à la deuxième formation du CEC, encore plus poussée : la réécriture.

Vous souhaitez faire appel à mes services ?

Vous voulez connaître mes tarifs ? N’hésitez pas à me contacter pour me demander un devis. Je vous réponds dans les meilleurs délais. Je suis également compétente pour réaliser vos traductions ! Mon entreprise est basée dans les environs de Lille. Je travaille avec des clients de Paris, de Suisse ou d’ailleurs en Europe.


Source : Site Internet du Centre d’Écriture et de Communication [CEC] à Paris

Êtes-vous incollable en orthographe ? Testez vos connaissances grâce au test réalisé par le CEC.


Rédaction : Isabelle Garnier

Orthographe : cinq erreurs à ne plus commettre

Voici cinq erreurs courantes que vous ne commettrez plus après avoir lu cet article !

1) Demain j’irais au cinéma. >>> Demain j’irai au cinéma.

« Irais » est la forme conjuguée du verbe « aller » au conditionnel présent, tandis que « irai » est la forme conjuguée pour le futur simple. Le futur simple s’emploie notamment pour une action qui se passe dans l’avenir, ce qui est le cas dans notre phrase. Le conditionnel s’emploie par exemple pour exprimer un souhait. Ainsi on écrira : « J’aimerais aller au cinéma. »

2) Amuses-toi !>>> Amuse-toi !

Les verbes du premier groupe (ceux qui se terminent en -er comme chanter, jouer) ne prennent pas de « s » à la première personne de l’impératif. Ainsi on écrit « Tu t’amuses bien. » mais « Amuse-toi ! ». Autres exemples : « Parle un peu plus fort ! » « Étudie ton texte ! » Attention : cette règle ne s’applique pas aux verbes des autres groupes. Exemple : « Écris et relis attentivement ton texte ! »

3) C’est un espèce de bandit. >>> C’est une espèce de bandit.

Le substantif espèce est toujours féminin, même s’il est suivi d’un substantif au masculin !

4) La maison que j’ai faite construire. >>> La maison que j’ai faitconstruire.

La règle ici est plutôt simple à retenir : « fait » (participe passé du verbe faire) suivi d’un infinitif est toujours invariable. Autres exemples : « Les traductions que j’ai fait relire. », « Les textes que j’ai fait corriger. »

5) Voici les amis que j’ai rencontré hier. >>> Voici les amis que j’ai rencontrés hier.

Règle générale : quand le COD est placé avant l’auxiliaire avoir, le participe passé s’accorde avec le COD. Ici le COD = les amis (j’ai rencontré qui ? les amis), placé avant « ai » (auxiliaire avoir) donc accord du participe passé au masculin pluriel. Autres exemples : « La page Internet que j’ai consultée. », « Les lettres que j’ai envoyées.

»Retrouvez les petits quiz correspondants sur la page Facebook de Destination Traduction et entraînez-vous à y répondre !

Textiles végétaux : la mode du futur

Parlons aujourd’hui des textiles végétaux. Rien de plus banal me direz-vous car le coton est très répandu. Mais détrompez-vous, les matières synthétiques sont bien plus présentes dans nos armoires que nous ne l’imaginons… Polyester, nylon, acrylique, néoprène : derrière ces noms se cachent des procédés chimiques de transformation du pétrole. Ces matières ont intégré nos foyers à tel point qu’il existe même un cycle synthétique sur nos machines à laver. Une mode moins polluante est cependant possible ! Les ingénieurs textiles se penchent sur les matériaux qui feront la mode du futur.

Des alternatives moins polluantes

L’industrie textile est une des plus polluantes au monde. Elle est très gourmande en eau, en énergie et en produits chimiques ! Constatant les effets dévastateurs que certains tissus avaient sur l’environnement, les fabricants ont donc commencé à (re)développer des alternatives plus naturelles.

En plus des fibres naturelles déjà existantes (chanvre, coton, lin, bambou, laine, soie…), des matières plus insolites viennent s’ajouter à nos garde-robes. Avez-vous déjà entendu parler de la ramie, du caoutchouc naturel ou encore du cuir d’ananas ?

La ramie

La ramie, aussi appelée « soie végétale », est une plante de la famille des orties principalement cultivée en Asie. Elle est utilisée pour sa solidité et sa ressemblance avec la soie. On s’en sert pour fabriquer des cordages, des bobines de fil ou encore en ameublement. Parler d’innovation serait faux car la ramie est utilisée comme matière première résistante depuis environ 6000 ans. Elle gagne cependant à être plus répandue en habillement : telle quelle ou alliée à d’autres fibres textiles.

Le caoutchouc naturel

Le caoutchouc n’est pas non plus une nouveauté. Mais la fabrication traditionnelle (extraction de la sève d’hévéa) a été peu à peu délaissée au profit du caoutchouc synthétique. Quelques entreprises ont cependant fait le choix de la remettre au goût du jour en proposant des produits écoresponsables. Les semelles des chaussures VEJA sont ainsi constituées en partie de caoutchouc naturel sauvage récolté dans le respect de la forêt amazonienne. L’entreprise Yulex a également mis au point une combinaison de surf sans néoprène à base de caoutchouc naturel. Une belle manière de se passer du pétrole tout en conservant la qualité des produits !

Le cuir d’ananas

Les fibres de feuilles d’ananas ont quant à elles vocation à remplacer le cuir d’origine animale. C’est l’entreprise Ananas Anam qui a mis au point Piñatex, cette innovation inspirée des traditions philippines. Il faut récupérer les feuilles de 16 ananas pour fabriquer 1 m2de cuir : une alternative bien plus écologique que l’élevage et le traitement des peaux. Et le résultat est bluffant !

Être à la mode sera bientôt synonyme d’écoresponsabilité pour le bien de la planète et des humains ! Mais d’ores et déjà, quels que soient vos choix vestimentaires, il est important de privilégier les labels bio et de vérifier l’origine des tissus auprès des fabricants.

Bon shopping ! Faites confiance à Destination Traduction pour traduire vos catalogues de mode durable : demandez un devis !

Sources :

Traduire : plus qu’un métier, une passion

Traduire est le fait de transposer un texte dans une autre langue. Dans mon cas, il s’agit de traduire dans ma langue maternelle, le français, un texte source rédigé en allemand ou en anglais. J’exerce ce métier avec passion depuis maintenant 18 ans !

Les qualités requises pour être traducteur

Savoir gérer les priorités

Je citerai en premier savoir gérer les priorités. Je m’attache toujours à respecter les délais convenus, je ne me donne donc pas le droit à l’erreur dans mon appréciation du temps à passer sur une traduction, et je dois savoir m’organiser quand j’ai plusieurs commandes à livrer dans des délais serrés. Je dois savoir rester hermétique aux diverses distractions, même si mes deux collaborateurs félins arrivent parfois à me détourner brièvement de mon poste de travail  !

Être résistant

Une autre qualité est pour moi la résistance, tant au niveau physique que mental. La traduction est une activité intellectuelle très énergivore qui requiert énormément de concentration. Je veille à dormir suffisamment, à m’alimenter sainement et à intégrer une activité sportive trois fois par semaine quand mon carnet de commandes le permet. 

Être passionné

J’exerce ce métier avec passion depuis 18 ans à temps plein et je ne m’en lasse pas. Il m’arrive même de ressentir un manque quand, pour diverses raisons, je ne peux pas traduire ! La traduction occupe une très grande place dans ma vie, et c’est un plaisir sans cesse renouvelé.

De la découverte du texte au rendu final

Le logiciel de traduction : une aide précieuse

J’utilise depuis des années un logiciel de traduction assistée par ordinateur (TAO) très performant. Mes traductions sont enregistrées au fur et à mesure, et instantanément consultables pour les nouveaux travaux, ce qui me permet de reprendre la terminologie précédemment utilisée. Je dispose désormais d’une grande base de données et de lexiques très fournis dans chacun de mes domaines de prédilection. Je peux aussi intégrer le glossaire fourni par mon client pour un respect rigoureux des termes propres à l’entreprise ou au secteur.

Quand je reçois un texte, je le lis rapidement pour me faire une idée de sa complexité et du temps approximatif que je vais passer à le traduire. Ensuite, je l’importe dans mon logiciel de TAO, et je commence la traduction, phrase après phrase.

C’est à ce moment précis que mon métier me procure le plus de plaisir, quand je me mets à la fois dans la peau de l’auteur étranger et dans celle du lecteur francophone.

Traduire : une gymnastique cérébrale

Je lis la phrase en allemand ou en anglais, j’en saisis le sens exact et toutes ses nuances et par une gymnastique cérébrale qui m’étonne toujours — même au bout de près de deux décennies d’exercice — les mots français et la tournure de la nouvelle phrase traduite voient le jour dans mon esprit. Je pianote alors sur mon clavier, parfois à une vitesse surprenante quand je maîtrise vraiment bien le sujet. Je me laisse emporter par le flux, laissant de temps à autre quelques points d’interrogation dans mon texte pour des recherches ultérieures. 

Soigner les finitions pour un rendu parfait

Ensuite vient la phase de finition. Je relis chaque phrase minutieusement, le cas échéant je vérifie les termes techniques et la syntaxe. Quand tout est parfait, j’exporte mon texte vers le format de fichier original, la plupart du temps dans Word ou Excel. Je relis une dernière fois mon texte pour m’assurer de sa fluidité, et je procède à l’ultime vérification de l’orthographe et de la ponctuation.

Et voilà, mon travail est prêt à être livré  !

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